Toutes les infos sur l'indicateur : résiduel de ClO₂ après dégazage

Résiduel de clo₂ après dégazage dans l'eau du robinet, pas de dépassement en mars 2025

Le résiduel de ClO₂ après dégazage fait partie des éléments de désinfection lié au chlore que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. Au 15/05/2025, nous n'avons pas connaissance de la limite que le résiduel de ClO₂ après dégazage ne doit pas dépasser dans l'eau du robinet.

Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé

Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de résiduel de ClO₂ après dégazage en mars 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en mai 2025 sont celles de mars 2025.

La présence de résiduel de ClO₂ après dégazage est limitée dans l'eau du robinet

Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de le résiduel de ClO₂ après dégazage ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à µg(ClO2)/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.

En 2024, 3801 analyses ont été effectuées sur 397 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne de résiduel de ClO₂ après dégazage est égale à 0. Nous n'avons pas répertorié de limite réglementaire pour cet indicateur.

Le résiduel de ClO₂ après dégazage classé 3 par le CIRC : un manque d'information

Le CIRC étudie et classifie les substances selon leur cancérogénicité

Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.

L'indicateur résiduel de ClO₂ après dégazage est identifié "3" par le CIRC. Le classement 3 du CIRC signifie qu'une substance n’est pas classable quant à sa cancérogénicité pour l’humain.

En général, cela repose sur des données insuffisantes aussi bien chez l’humain que chez l’animal. Toutefois, une exception existe lorsque des preuves suffisantes sont disponibles chez l’animal, mais que le mécanisme en cause est considéré comme non pertinent pour l’humain, ce qui limite la portée du risque pour ce dernier.