Toutes les infos sur l'indicateur : chlordane alpha
Chlordane alpha dans l'eau du robinet, pas de dépassement en mars 2025
La chlordane alpha fait partie des pesticides que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 5684 mesures effectuées de chlordane alpha, elles concernaient 3668 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.00µg/L, pour une limite fixée à 0.1µg/L.
Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé
Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de la chlordane alpha en mars 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en mai 2025 sont celles de mars 2025.
La présence de la chlordane alpha est limitée dans l'eau du robinet
Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de la chlordane alpha ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 0.1 µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.
En 2024, 5684 analyses ont été effectuées sur 3668 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne de la chlordane alpha est égale à 0. Rappelons que le seuil est fixé à 0.1µg/L pour cet indicateur.
Le CIRC classe la chlordane alpha dans les substances "peut-être" cancérogènes
Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.
L'indicateur chlordane alpha est identifié "2B" par le CIRC. Ce classement indique que l'indicateur "chlordane alpha" est considérée comme « peut-être cancérogène pour l’humain ».
Cela repose sur différentes combinaisons de données : parfois, on observe des indications limitées de cancérogénicité chez l’humain, et les études menées chez l’animal ne sont pas concluantes ; d’autres fois, c’est l’inverse, avec des preuves jugées suffisantes chez l’animal mais insuffisantes chez l’humain. Dans certains cas, les données sont faibles ou insuffisantes des deux côtés, mais des éléments complémentaires, comme la compréhension des mécanismes d’action biologiques, peuvent appuyer le classement (source).