Toutes les infos sur l'indicateur : tétrachloroéthylène-1,1,2,2

Tétrachloroéthylène-1,1,2,2 dans l'eau du robinet, pas de dépassement en mars 2025

Le tétrachloroéthylène-1,1,2,2 fait partie des éléments de désinfection lié au chlore que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 17970 mesures effectuées de tétrachloroéthylène-1,1,2,2, elles concernaient 13429 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.03µg/L, pour une limite fixée à 10µg/L.

Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé

Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de tétrachloroéthylène-1,1,2,2 en mars 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en mai 2025 sont celles de mars 2025.

La présence de tétrachloroéthylène-1,1,2,2 est limitée dans l'eau du robinet

Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de le tétrachloroéthylène-1,1,2,2 ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 10 µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.

En 2024, 17970 analyses ont été effectuées sur 13429 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, on retrouve en moyenne 0.03µg/L de tétrachloroéthylène-1,1,2,2. Rappelons que le seuil est fixé à 10µg/L pour cet indicateur.

Le CIRC classe le tétrachloroéthylène-1,1,2,2 dans les substances probablement cancérogènes

Le CIRC étudie et classifie les substances selon leur cancérogénicité

Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.

L'indicateur tétrachloroéthylène-1,1,2,2 est identifié "2A" par le CIRC. Le classement 2A du CIRC correspond à une substance « probablement cancérogène pour l’humain ».

Il repose généralement sur des preuves limitées chez l’humain et suffisantes chez l’animal. Dans certains cas, bien que les données humaines soient insuffisantes, la présence de preuves solides chez l’animal, combinée à des mécanismes plausibles partagés avec l’humain, justifie ce classement. Des exceptions peuvent aussi s’appliquer, notamment lorsque seules des indications limitées chez l’humain sont disponibles ou lorsque la substance appartient à une famille déjà associée à des agents classés cancérogènes certains ou probables (source).