Toutes les infos sur l'indicateur : malathion

Malathion dans l'eau du robinet, pas de dépassement en mai 2025

Le malathion fait partie des pesticides que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 9855 mesures effectuées de malathion, elles concernaient 6811 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.00µg/L, pour une limite fixée à 0.1µg/L.

Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé

Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de malathion en mai 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en juillet 2025 sont celles de mai 2025.

La présence de malathion est limitée dans l'eau du robinet

Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de malathion ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 0.1µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.

En 2024, 9855 analyses ont été effectuées sur 6811 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne de malathion est égale à 0. Rappelons que le seuil est fixé à 0.1µg/L pour cet indicateur.

Le CIRC classe le malathion dans les substances probablement cancérogènes

Le CIRC étudie et classifie les substances selon leur cancérogénicité

Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.

L'indicateur malathion est identifié "2A" par le CIRC. Le classement 2A du CIRC correspond à une substance "probablement cancérogène pour l’humain".

Il repose généralement sur des preuves limitées chez l’humain et suffisantes chez l’animal. Dans certains cas, bien que les données humaines soient insuffisantes, la présence de preuves solides chez l’animal, combinée à des mécanismes plausibles partagés avec l’humain, justifie ce classement. Des exceptions peuvent aussi s’appliquer, notamment lorsque seules des indications limitées chez l’humain sont disponibles ou lorsque la substance appartient à une famille déjà associée à des agents classés cancérogènes certains ou probables (source).