Toutes les infos sur l'indicateur : endosulfan sulfate

Endosulfan sulfate dans l'eau du robinet, pas de dépassement en avril 2025

L'endosulfan sulfate fait partie des pesticides que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 8898 mesures effectuées de endosulfan sulfate, elles concernaient 6187 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.00µg/L, pour une limite fixée à 0.1µg/L.

Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé

Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement d'endosulfan sulfate en avril 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en juin 2025 sont celles de avril 2025.

La présence d'endosulfan sulfate est limitée dans l'eau du robinet

Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration d'endosulfan sulfate ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 0.1µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.

En 2024, 8898 analyses ont été effectuées sur 6187 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne d'endosulfan sulfate est égale à 0. Rappelons que le seuil est fixé à 0.1µg/L pour cet indicateur.

L'endosulfan sulfate classé 3 par le CIRC : un manque d'information

Le CIRC étudie et classifie les substances selon leur cancérogénicité

Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.

L'indicateur endosulfan sulfate est identifié "3" par le CIRC. Le classement 3 du CIRC signifie qu'une substance n’est pas classable quant à sa cancérogénicité pour l’humain.

En général, cela repose sur des données insuffisantes aussi bien chez l’humain que chez l’animal. Toutefois, une exception existe lorsque des preuves suffisantes sont disponibles chez l’animal, mais que le mécanisme en cause est considéré comme non pertinent pour l’humain, ce qui limite la portée du risque pour ce dernier.