Toutes les infos sur l'indicateur : DDD-4,4'
Ddd-4,4' dans l'eau du robinet, pas de dépassement en mars 2025
Le DDD-4,4' fait partie des pesticides que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 11267 mesures effectuées de DDD-4,4', elles concernaient 7838 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.00µg/L, pour une limite fixée à 0.1µg/L.
Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé
Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de DDD-4,4' en mars 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en mai 2025 sont celles de mars 2025.
La présence de DDD-4,4' est limitée dans l'eau du robinet
Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de le DDD-4,4' ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 0.1 µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.
En 2024, 11267 analyses ont été effectuées sur 7838 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne de DDD-4,4' est égale à 0. Rappelons que le seuil est fixé à 0.1µg/L pour cet indicateur.
Le CIRC classe le DDD-4,4' dans les substances "peut-être" cancérogènes
Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.
L'indicateur DDD-4,4' est identifié "2B" par le CIRC. Ce classement indique que l'indicateur "DDD-4,4'" est considérée comme « peut-être cancérogène pour l’humain ».
Cela repose sur différentes combinaisons de données : parfois, on observe des indications limitées de cancérogénicité chez l’humain, et les études menées chez l’animal ne sont pas concluantes ; d’autres fois, c’est l’inverse, avec des preuves jugées suffisantes chez l’animal mais insuffisantes chez l’humain. Dans certains cas, les données sont faibles ou insuffisantes des deux côtés, mais des éléments complémentaires, comme la compréhension des mécanismes d’action biologiques, peuvent appuyer le classement (source).