Toutes les infos sur l'indicateur : chlorophacinone

Chlorophacinone dans l'eau du robinet, pas de dépassement en mars 2025

Le chlorophacinone fait partie des pesticides que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 6250 mesures effectuées de chlorophacinone, elles concernaient 4018 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.00µg/L, pour une limite fixée à 0.1µg/L.

Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé

Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de chlorophacinone en mars 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en mai 2025 sont celles de mars 2025.

La présence de chlorophacinone est limitée dans l'eau du robinet

Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de le chlorophacinone ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 0.1 µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.

En 2024, 6250 analyses ont été effectuées sur 4018 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne de chlorophacinone est égale à 0. Rappelons que le seuil est fixé à 0.1µg/L pour cet indicateur.

Le chlorophacinone classé 3 par le CIRC : un manque d'information

Le CIRC étudie et classifie les substances selon leur cancérogénicité

Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.

L'indicateur chlorophacinone est identifié "3" par le CIRC. Le classement 3 du CIRC signifie qu'une substance n’est pas classable quant à sa cancérogénicité pour l’humain.

En général, cela repose sur des données insuffisantes aussi bien chez l’humain que chez l’animal. Toutefois, une exception existe lorsque des preuves suffisantes sont disponibles chez l’animal, mais que le mécanisme en cause est considéré comme non pertinent pour l’humain, ce qui limite la portée du risque pour ce dernier.