Toutes les infos sur l'indicateur : chlorpyriphos éthyl
Chlorpyriphos éthyl dans l'eau du robinet, pas de dépassement en avril 2025
Le chlorpyriphos éthyl fait partie des pesticides que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 15320 mesures effectuées de chlorpyriphos éthyl, elles concernaient 10378 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.00µg/L, pour une limite fixée à 0.1µg/L.
Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé
Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de chlorpyriphos éthyl en avril 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en juin 2025 sont celles de avril 2025.
La présence de chlorpyriphos éthyl est limitée dans l'eau du robinet
Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de chlorpyriphos éthyl ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 0.1µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.
En 2024, 15320 analyses ont été effectuées sur 10378 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne de chlorpyriphos éthyl est égale à 0. Rappelons que le seuil est fixé à 0.1µg/L pour cet indicateur.
Le chlorpyriphos éthyl classé 3 par le CIRC : un manque d'information
Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.
L'indicateur chlorpyriphos éthyl est identifié "3" par le CIRC. Le classement 3 du CIRC signifie qu'une substance n’est pas classable quant à sa cancérogénicité pour l’humain.
En général, cela repose sur des données insuffisantes aussi bien chez l’humain que chez l’animal. Toutefois, une exception existe lorsque des preuves suffisantes sont disponibles chez l’animal, mais que le mécanisme en cause est considéré comme non pertinent pour l’humain, ce qui limite la portée du risque pour ce dernier.