Toutes les infos sur l'indicateur : benzo(a)pyrène *

Benzo(a)pyrène * dans l'eau du robinet, pas de dépassement en mars 2025

Le benzo(a)pyrène * fait partie des Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) et autres polluants organiques que l'on peut trouver dans l'eau du robinet. En 2024, il y a eu 17137 mesures effectuées de benzo(a)pyrène *, elles concernaient 13260 réseaux d’eau distincts. La moyenne des concentrations mesurée est de 0.00µg/L, pour une limite fixée à 0.01µg/L.

Aucun réseau d'eau au dessus du seuil fixé

Sur l'ensemble des réseaux d'eau de France, on ne constate aucun dépassement de benzo(a)pyrène * en mars 2025. Les données recueillies sont issues de la base de données publique sur le contrôle sanitaire de l’eau en France. Les données affichées en mai 2025 sont celles de mars 2025.

La présence de benzo(a)pyrène * est limitée dans l'eau du robinet

Pour garantir la potabilité de l'eau du robinet, la concentration de le benzo(a)pyrène * ne doit pas dépasser un seuil réglementaire fixé à 0.01 µg/L. En cas de dépassement dans votre commune, contactez votre fournisseur d'eau.

En 2024, 17137 analyses ont été effectuées sur 13260 réseaux de distribution d'eau. Sur les dernières analyses réalisées, la concentration moyenne de benzo(a)pyrène * est égale à 0. Rappelons que le seuil est fixé à 0.01µg/L pour cet indicateur.

Le CIRC classe le benzo(a)pyrène * dans les substances cancérogènes

Le CIRC étudie et classifie les substances selon leur cancérogénicité

Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) mène des recherches de pointe sur les causes du cancer, sa prévention et sa détection. À la suite des recherches réalisées sur une substance, une classification est établie. Elle indique à quel point il est scientifiquement prouvé que la substance peut provoquer le cancer.

L'indicateur benzo(a)pyrène * est identifié "1" par le CIRC. Le classement 1 du CIRC désigne une substance comme « cancérogène avéré pour l’humain ».

Dans certains cas, même si les données humaines ne sont pas entièrement suffisantes, la combinaison de preuves chez l’animal et d’un mécanisme de cancérogénicité bien établi peut justifier ce classement (source).